14h30 – La veille, j’imaginais un départ matinal. Nos sacs gisaient encore au soleil, qui déclinait déjà avec les couleurs d’octobre sur les aiguilles de Chamonix. Nous n’irions pas bien loin aujourd’hui, Nathalie l’avait bien dit. Surtout qu’il a fallu commencer par descendre, pour rejoindre l’adret. En bas, il y avait l’Arve, et puis la ...